dimanche 7 juin 2015

Danger alimentaire ! les aliments poison

les aliments qui peuvent réduire nos défenses immunitaires :

1) Il s’agit des boissons contenant des faux sucres de type aspartame

2) le pain blanc (souvent blanchi) qui se comporte comme un excès de sucre et qui augmente la porosité intestinale

3) le gluten raffiné et rajouté à l’excès

4) les levures chimiques.

Cette porosité laisse passer des molécules plus ou moins toxiques, à l’origine d’inflammations qui vont se développer sur les zones fragiles (cancéreuses de l’organisme).

Danger des produits laitiers de vache :
* lait UHT,
* yaourts,
* fromages à pâte non cuite,
* crèmes, glaces…
Ils apportent trop de graisses et de sucres (lactose) mais aussi du calcium en excès (4 fois trop) et des facteurs de croissance surtout destinés naturellement à un animal, le veau. N’oublions pas que le veau prend en une année 365 kg après sa naissance, tandis que le petit humain ne prend que 5 kg dans la même année qui suit sa naissance.

Aujourd’hui  entre 3.7 millions et 7.1 millions de français souffre de MALNUTRITION !
"étude réalisé par l’institut de veille sanitaire "

Interview de Xavier Leverve, directeur scientifique du secteur "Nutrition humaine et sécurité des aliments" INRA, Paris
Ce que sait l'état :

" L’alimentation et l’activité physique sont impliquées dans l’apparition et le développement de la plupart des maladies chroniques les plus fréquentes aujourd’hui. De nombreux travaux ont par exemple montré l’impact de la nutrition sur la survenue de certains cancers, des maladies cardiovasculaires, de l’obésité, de l’ostéoporose, ou encore de troubles métaboliques comme le diabète de type 2 ou l’hypercholestérolémie. La recherche s’est dans un premier temps focalisée sur ces problèmes de santé publique. Mais elle s’élargit aujourd’hui à d’autres domaines : des travaux suggèrent en effet l’existence de liens entre la nutrition et certaines maladies inflammatoires auto-immunes, comme la polyarthrite rhumatoïde ou les maladies intestinales chroniques inflammatoires (MICI), ou encore les allergies, la dépression, les troubles du sommeil, le déclin cognitif et la dégénérescence oculaire (DMLA, cataracte)…
Par ailleurs, une alimentation suffisante, équilibrée et diversifiée est nécessaire à la croissance, au maintien de l’immunité, à la fertilité (les études épidémiologiques retrouvent une relation dose-effet entre l’indice de masse corporelle et l’hypofertilité masculine) ou encore à un vieillissement réussi (performances cognitives, entretien de la masse musculaire, lutte contre les infections…).
Enfin, si des aliments, des nutriments et des comportements augmentent le risque de développer certaines pathologies, d’autres vont au contraire avoir une action préventive. "

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